Initialement prévu le 5 mars, ce spectacle a dû être déplacé au 3 mars.

Oh Capitaine, mon Capitaine... Cette réplique du Cercle des poètes disparus résonne toujours. Pour la première fois, le théâtre s’empare de la version française du Cercle des poètes disparus, le film culte de Peter Weir. Mise en scène par Olivier Solivérès, cette version roule à tombeau ouvert. Les pupitres ne cessent de glisser, la salle de cours se change en cette fameuse grotte où une poignée de collégiens réfractaires se retrouve la nuit pour réciter des poèmes. Stéphane Freiss joue le magnétique John Keating, ce professeur charismatique et iconoclaste qui inspire ses jeunes élèves s’ouvrant à la vie, loin du carcan des conventions qu’incarne leur établissement. Histoire émouvante et contemporaine, la pièce célèbre l’amitié, l’émancipation, la transmission, au moment où se dessinent personnalités et destins. Un cri à la vie ! Un cri à la liberté ! Carpe diem !

« Le film m’a donné jadis le goût de la poésie. Aujourd’hui, la pièce vivifiante m’a séduit notamment par sa fougueuse et jeune distribution. Rassembleuse, récompensée par 2 Molière, elle a tout pour plaire. Les gens en retiennent souvent le « Carpe diem », mais j’avoue que c’est plus son message d’amitié, de solidarité, d’art soudant les êtres au-delà des pires conventions qui me marque avec ce Cercle. » R. Sandoz

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