Une fée, amoureuse d’Arlequin, le séquestre et espère ainsi conquérir son cœur. C’est sans compter sur la force et l’innocence des premiers sentiments amoureux que le bel Arlequin va nourrir pour une bergère des environs. Quelques ampoules, des guirlandes lumineuses et des serpentins de papier servent de cadre féérique à cette histoire d’amour qui tourne à la faveur des amants sincères et naïfs. À l’opposé de La Fausse Suivante, l’amour peut, grâce au souffle de la jeunesse, être vainqueur.

Avec fougue et une certaine voracité, Thomas Jolly, un des metteurs en scène d’opéra les plus courus de sa génération, s’empare de ces marivaudages et propose un théâtre intelligent et festif et tout à fait singulier. Une ode à l’insolence et à la liberté d’être irraisonnable.

«C’est gai, joyeux et ça fait peur. Du théâtre d’exigence, de frisson et de pur plaisir. » Télérama

«L’humour n’est pas en reste. Une création poétique et résolument originale ! » Le Télégramme

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